Juste quelqu’un de bien de Angela Morelli
Aujourd’hui, je viens vous parler d’un nouveau roman que nous étions beaucoup à attendre. Il s’agit de « Juste quelqu’un de bien » d’Angela Morelli qui est publié dans la collection &H de chez Harlequin. J’ai lu les trois premiers romans de cette auteure et j’avoue que j’ai toujours été séduite par sa plume et ses personnages. Vous pouvez d’ailleurs retrouver sur la malle aux livres mes chroniques sur: « L’homme idéal en mieux », « L’amour est dans le foin » et « Ca a commencé comme ça« . J’étais donc très impatiente de me plonger dans cette nouvelle lecture et je savais même avant de commencer celle-ci que j’allais passer un excellent moment. Il est vrai que j’ai appris à avoir totalement confiance en cette auteure et à ne même pas regarder la quatrième de couverture avant de débuter le premier chapitre.
Comme à mon habitude, je vous laisse avec le résumé du roman et la couverture. Je vous retrouve juste après pour vous donner mon avis plus en détail sur cette lecture.
À trente-quatre ans, Bérénice n’a plus aucune certitude. Tout ce qu’elle croyait savoir sur la vie a pris l’eau, elle multiplie les amants, mais ne tombe jamais amoureuse et, cerise sur le gâteau, voilà qu’elle n’arrive plus à écrire une ligne, alors que l’écriture est sa raison d’être. Heureusement, elle peut compter sur les trois femmes de sa vie : sa mère et sa grand-mère, avec qui elle partage une jolie maison cachée au cœur de Paris, et Juliette, son amie d’enfance.
Mais ça ne suffit plus.
Bérénice n’a donc plus le choix. Elle doit enfin affronter les questions qu’elle a toujours refusé de se poser et accepter de faire une place… aux hommes de sa vie. En commençant par son père, dont elle ne sait rien, et par Aurélien, un homme surgi du passé, qu’elle vient de croiser et qui ne l’a pas reconnue.
Dans les premières pages de ce roman, nous faisons la connaissance de Bérénice qui est une jeune adolescente et on fera plusieurs sauts dans le temps pour la retrouver alors qu’elle a 34 ans. Elle vit dans un petit appartement au coeur de Paris avec pour voisines sa grand mère et sa mère. Elle a ses petites habitudes dans le quartier dans lequel elle vit et elle est plutôt heureuse même si elle se rend compte qu’elle n’ait réellement jamais tombée amoureuse et que le seul homme qui lui a fait de l’effet est Aurélien… C’est un homme qu’elle a rencontré à plusieurs occasions dans sa vie et ce dernier ne se rappelle jamais d’elle quand le destin les repousse à se revoir. Frustrant non?
Sans vous mentir, dès les premières pages de cette lecture, je me suis sentie emportée dans cette nouvelle histoire d’Angela Morelli et je me suis énormément attachée à Bérénice. C’est une jeune femme qu’on a rencontre alors qu’elle n’a que 18 ans puis on fait un saut dans le temps et elle en a 27 puis 34. On la voit évoluer dans sa vie et j’avoue que je suis assez admirative de son parcours. Elle n’a pas hésité à prendre des décisions assez drastique pour trouver le bonheur. Elle n’hésitera pas à quitter un boulot qui paie bien mais qui ne la rendait pas heureuse et cela du jour au lendemain pour se trouver. Elle énormément de courage et elle nous le démontrera tout au long de son histoire. C’est vraiment une héroïne et vous l’aurez compris j’ai vraiment beaucoup aimé ce personnage féminin.
Le destin ou le hasard – comme vous voulez – va faire qu’elle va rencontrer plusieurs fois un homme qui se prénomme Aurélien. Ils vont se croiser, vivre un instant fugace ensemble et à chaque fois ce dernier l’oubliera. Pour ma part, je vous avoue que j’avais bien envie de la gifler cet Aurélien et à quelques reprises. Enfin après, on peut se rendre compte qu’il a peut-être des circonstances atténuantes et encore… Il mérite quand même une gifle ou deux mais au fond on l’adore cet homme… Surtout quand on le voit évoluer avec son fils. Parce que oui, Aurélien est papa d’un petit garçon qui se prénomme Arthur. On le découvre quand on retrouve Bérénice qui a maintenant 34 ans et qui est devenu écrivain de romance. Le destin va les pousser à se rencontrer de nouveau. Je vous avoue que je suis clairement tombée sous le charme de ce Aurélien plus âgé, plus mature et qui aime de tout son coeur son fils. En même temps comment ne pas succomber un papa poule? Si vous aimez aussi les papas poules, je vous conseille de lire « Si tu me le demandais » de Emily Blaine et « Et tes larmes retenir » de Charlotte Orcival.
Je vais essayer de ne pas vous en dire beaucoup plus sur l’histoire et notamment sur Aurélien et Bérénice car vous devez découvrir leur histoire comme j’ai pu le faire au fil de votre lecture. Néanmoins, croyez-moi elle vaut le détour et je sais par avance que vous passerez un bon moment de lecture comme je l’ai vécu moi-même. J’ai aussi beaucoup aimé qu’il y ait des petites touches plus légères et avec de l’humour. J’ai adoré Capitaine Haddock qui est le perroquet de Bérénice qui a pas mal de vocabulaire pour un perroquet. Notre héroïne ne peut pas s’ennuyer avec cet animal chez elle. J’ai aussi beaucoup aimé la maman de Bérénice qui est une voyante mais qui fait plus psychologie que de voyance. D’ailleurs, j’en arrive à vous parler aussi de la relation entre la maman, la grand mère et Bérénice elle-même. J’ai beaucoup aimé que cette relation soit développée entre ces trois générations. On voit qu’elles sont unies et qu’elles peuvent compter les unes sur les autres.
Pour résumer et conclure ma chronique sur « Juste quelqu’un de bien » de Angela Morelli, j’ai totalement été séduite par ce roman et cela du premier au dernier chapitre. Il est devenu mon roman préféré de cette auteure. Il y a tout ce que j’aime dans une romance contemporaine. De plus, j’aime beaucoup que les héros ont déjà un vécu, un passé. Je veux dire par là que je suis un peu trop vieille maintenant pour croire à la romance « Conte de fées » et j’aime quand les personnages ont un peu souffert avant de trouver la bonne personne.
Quelques informations sur Juste quelqu’un de bien:
Edition: Collection &H
Prix: 14.90 euros
Date de sortie: 4 octobre 2017
Nombre de pages: 340 pages
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