Gun Cake de Maloria Cassis
Aujourd’hui je viens vous parler de « Gun Cake » de Maloria Cassis. Après avoir découvert les trois frères Cooper avec la trilogie Cooper Training, j’avais vraiment envie de retrouver la plume de cette auteure qui m’a vraiment séduite. Sur les conseils de mon amie Charlotte, du blog « Les Voyages littéraires« , j’avais mis son roman « Gun Cake » dans ma Wish List et j’ai eu l’immense chance que Charlotte me l’offre pour Noël. J’étais vraiment heureuse et comblée. Vous savez, c’est le genre de roman que vous savez que vous allez adorer avant même de l’avoir débuté ! Vous savez que vous allez le dévorer car vous faites confiance, les yeux fermés, à la personne qui vous l’a conseillé. C’est ce qui est arrivé avec ce livre et j’avais le sourire avant même d’avoir lu une seule page.
Comme à mon habitude, je vous laisse avec la couverture du roman et le résumé de celui-ci. Je vous retrouve juste après pour vous donner mon avis plus en détail sur cette lecture.
Lequel des deux rendra les armes en premier ?Angela Alessi réalise enfin son rêve de petite fille en ouvrant sa pâtisserie à Centori. Elle souhaite oublier son passé et ne plus jamais se laisser dicter son comportement. Adriano Alario, chef de la mafia locale, ne voit pas les choses sous cet angle, et compte bien la faire s’acquitter, comme tous les commerçants, de la taxe due à sa famille pour s’être installée sur son territoire. Il éprouve cependant des difficultés à rester insensible à l’aplomb et à la force de caractère de sa nouvelle adversaire, laquelle a bien du mal à résister à son charme. Entre les secrets d’Angela, les règles du milieu, les trahisons et les préjugés, comment trouver une place pour les sentiments ?
Dans ce roman, nous faisons la rencontre d’Angela qui vient d’arriver à Centori où elle a repris une pâtisserie. C’est un nouveau départ pour notre héroïne mais celui-ci ne va pas être simple. En effet, peu de temps après son arrivée, la jeune femme se rend compte que la ville est sous le joug d’une mafia. Si elle veut continuer à « être tranquille » et vendre ses cupcakes en toute sécurité, elle doit verser chaque mois… une certaine somme à cette mafia. Evidemment, Angela n’est pas décidée à se laisser dicter sa conduite et c’est bientôt Adriano Alaria, chef de la mafia et donc de la ville qui va venir la rencontrer pour lui expliquer son point de vue et lui faire comprendre qu’elle n’a pas le choix. Ils sont comme chien et chat, l’eau et le feu. Elle est décidée à résister et lui à la faire craquer. Elle doit faire comme tous les autres sinon c’est le début de la fin pour Adriano. De plus, ce dernier a beaucoup de choses à gérer en tant que « nouveau » chef. Ce n’est pas une femme qui va lui résister…
Le premier mot qui me vient à l’esprit est un mot très vulgaire qui commence par PU…. et comme je ne suis pas vulgaire… Je vais le remplacer par Purée, j’ai adoré ce roman et cela du début à la fin. Il est méchamment addictif et dangereux pour la santé. Quand on le débute, difficile de s’arrêter et on peut dire au revoir à toute vie sociale avant de l’avoir terminé. Autant vous le dire de suite, c’est un vrai coup de cœur que j’ai eu pour « Gun Cake » de Maloria Cassis.
L’auteure a fait un pari osé en faisant d’Adriano un mafioso. Dès le début du roman, on se rend compte qu’il ne ressemble en rien à un prince charmant ou au héros type. D’ailleurs, dans le premier chapitre, il n’hésite pas à tuer quelqu’un et ce n’est pas pour défendre une vie. Il le fait parce qu’il doit le faire pour le bien de son clan. Il apparait comme un héros plutôt froid, distant et taciturne. Pourtant au fil du temps, on va réellement s’attacher à lui et le découvrir. C’est quelque chose que j’ai adoré. Sans qu’on se rend compte, notre opinion va changer sur lui et c’est un peu comme souffrir du syndrome de Stockholm. On se rend compte que les choses ne peuvent pas être tout blanche ou toute noire mais que c’est plutôt une nuance de gris. Je suis tombée réellement sous le charme de ce personnage et j’ai vraiment eu du mal à lui dire au revoir à la fin de ma lecture.
En ce qui concerne Angela, c’est une héroïne qui en a dans le pantalon même si c’est une jeune femme. Elle n’hésitera pas à dire NON à Adriano même si elle sait qu’elle ne devrait pas. C’est une femme très courageuse. Elle va vivre des choses loin d’être facile à encaisser mais elle se relèvera toujours même s’il lui faut parfois du temps. Elle a énormément de cran et c’est une femme qu’on ne peut qu’admirer.
Je ne me suis pas ennuyée un seul instant au cours de ma lecture et vous verrez au cours de la vôtre qu’il y a de nombreux rebondissements. Certains choix de l’auteure sont vraiment audacieux mais ça fonctionne. En effet, ils nous surprennent, nous choquent et on se demande si l’auteure a vraiment pu faire ça… Mais oui et au final cela apporte une dose de piment à l’histoire et cela apporte une dimension nouvelle. Ce n’est pas le premier roman de Maloria Cassis que je lis et ce n’est probablement pas le dernier car je suis vraiment fan de son écriture et de ses personnages. Après l’avoir découvert avec sa trilogie « Cooper Training », je suis heureuse de l’avoir découvert dans un autre univers. Une nouvelle fois, elle m’a totalement séduite et je suis impatiente de découvrir sa prochaine histoire qui sera aussi probablement un coup de cœur.
Pour résumer et conclure ma chronique sur « Gun Cake » de Maloria Cassis, j’ai adoré ce roman. Je l’ai dévoré de la première à la dernière page en moins de 24 heures. J’ai eu un vrai coup de cœur pour cette histoire a su faire palpiter mon cœur de lectrices. Tout est vraiment présent pour qu’on passe un excellent moment, pour qu’on oublie tout ce qui se passe autour de nous. On vit les aventures d’Angela et d’Adriano avec eux. C’est intense et j’adore ça ! A lire de toute urgence !
Quelques informations sur Gun Cake:
Prix: 14.99 euros
Date de sortie: 3 octobre 2019
Nombre de pages: 505 pages
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