Campus Baby de Lex Martin

Aujourd’hui, je viens vous parler du roman « Campus Baby » de Lex Martin publié dans la Collection &H. J’avoue que j’aime beaucoup les romances où il y a un bébé donc celle-ci m’a toute suite tapé dans l’oeil grâce à son titre mais aussi sa quatrième de couverture. Lire cette romance était aussi l’occasion pour moi de découvrir la plume d’une nouvelle autrice américaine que je ne connaissais pas et je peux d’ors et déjà vous dire que c’est une belle découverte.

Comme à mon habitude, je vous laisse avec la couverture du roman et le résumé de celui-ci. Je vous retrouve juste après pour vous donner mon avis plus en détail sur cette lecture.

Qu’est-ce qui est pire qu’être complètement ignorée par Rider Kingston, le quarterback le plus populaire et le plus dragueur de l’université, après avoir passé une nuit avec lui ? Réponse : vivre en face de son immeuble et voir défiler ses conquêtes.  Enfin, ça, c’est ce que je pensais jusqu’au jour où quelqu’un a abandonné son bébé devant la porte de la fraternité avec un petit mot expliquant que le père était l’un des sportifs résidents. Le problème ? Personne ne sait lequel de ces crétins est l’heureux élu.  En temps normal, je ne me serais pas souciée de leurs problèmes de paternité mais, étant donné que mon frère vit avec eux, il y a une chance pour que ce petit bébé soit ma nièce et il est hors de question que je la laisse entre les mains de ces stupides joueurs de football.  Ils ont besoin de mon aide, même s’ils ne le savent pas encore. Et une fois que nous aurons résolu le problème et trouvé le père de l’enfant, je m’en irai. D’ici là, il va juste falloir que j’ignore les regards brûlants que Rider ne cesse de me lancer à chaque fois que je viens m’occuper du bébé.

Dans ce roman, nous faisons la connaissance de Gabby et de Rider qui se connaissent depuis leur première année à l’université. Ils étaient très proches durant un moment avant qu’ils s’éloignent l’un et l’autre même s’ils étaient voisins. Lorsqu’on retrouve un enfant sur le pas de porte de la maison où vit Rider et ses colocataire footballeurs…. Gabby ne peut que vouloir les aider pour le bien être de ce bébé et surtout elle se dit que cet enfant pourrait être sa nièce. Elle va donc se rapprocher de ses voisins et évidemment de Rider avec qui elle va passer de plus en plus de temps. Malheureusement ça ne sera pas de tout repos car que ce soit Rider ou elle, ils ont été cabossés par la vie et n’ont jamais connu une vie de famille heureuse. De plus, élever un enfant n’est pas simple lorsqu’on fait des études et il faut découvrir l’identité des parents.

C’était une chouette lecture pour moi dans la pure tradition des premières romances qu’on a vu arriver en France après 50 nuances de Grey. Nous sommes dans une romance universitaire qui m’a fait penser à l’esprit de « Beautiful Disaster« . Nous sommes donc clairement dans une romance New Adult et j’avoue que j’ai passé un très bon moment de lecture mais ça ne m’a pas transcendé non plus mais peut-être que je suis un « chouilla » ( juste un peu ) trop vieille pour ce genre de romance maintenant.

Néanmoins, cela reste un roman très bien écrit et la plume de Lex Martin était chouette à découvrir. Je me suis attachée aux deux héros de cette histoire mais aussi à tous les personnages secondaires qui gravitent autour d’eux et qui leur apportent une aide non négligeable pour s’occuper de ce bébé. Nos deux héros sont bien entourés et heureusement car ils ne peuvent pas réellement compter sur leur famille.

Nous avons une première partie de l’histoire qui tourne autour de l’identité des parents de ce bébé qui n’a rien demandé et qui se retrouve sur le paillasson de la maison de footballeurs puis nous avons la suite qui se concentre sur cette nouvelle organisation avec une petite fille. Il faut trouver un équilibre. Dans tout ça, nous allons évidemment avoir une romance entre Rider et Gabby et elle va prendre du temps à s’installer. En même temps, on peut le comprendre car ce n’est pas la priorité pour l’un et pour l’autre même s’ils sont inexorablement attirés. De plus Gabby a aussi du mal à faire confiance à Rider dans ce domaine et on peut le comprendre.

Nous sommes dans une romance relativement longue car elle fait plus de 500 pages. Normalement pour ce type d’histoire, nous sommes plus autour de 350/400 pages mais je n’ai pas trouvé qu’il y avait des longueurs. Finalement j’ai aimé que la romance prenne son temps pour s’installer et que nous ayons de nombreuses scènes du quotidien qui permettent aux lecteurs de découvrir la vie « réelle » et nos deux héros.

Pour résumer et conclure ma chronique sur « Campus baby », j’ai passé un chouette moment de lecture avec ce titre et j’avoue que j’adhère toujours autant à l’idée originale du départ qui a été bien exploité. Après, je pense que j’ai probablement passé l’âge pour ce type de romances très New adult qui se déroule à l’université…  Et je pense que c’est pour cette raison que même si j’ai passé un bon moment avec cette romance, je n’ai dit « whaou! »

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