La princesse celte de Helen Kirkman
Aujourd’hui je viens vous parler du roman « La princesse celte » de Helen Kirkman publié dans la collection Victoria de chez Harlequin. Pour ma part, j’étais impatiente de découvrir ce roman car le résumé m’intriguait énormément et je suis tombée sous le charme de la couverture. Je vous avoue que j’aime particulièrement les couvertures de la collection Victoria de chez Harlequin. Je les trouve vraiment splendides. Bravo à l’équipe de graphiste derrière. A savoir aussi que ce roman est une réédition et qu’il a déjà été publié en 2012 chez Harlequin dans une autre collection.
Comme à mon habitude, je vous laisse avec la couverture et le résumé du roman. Je vous retrouve juste près pour vous donner mon avis plus en détail sur cette lecture.
Royaume de Northumbrie. An de grâce 716.
Athelbrand le Saxon s’avança.. Son regard capta celui de la femme qui lui faisait face, et sa main se crispa sur la garde de son glaive. Alina était aussi belle que dans son souvenir… Dès leur première rencontre, la princesse celte l’avait fasciné. Jamais créature aussi captivante n’avait pénétré dans la salle d’apparat du palais des rois de Northumbrie. Son visage semblait celui d’un ange, mais sa chevelure et ses yeux noirs évoquaient le mystère de la nuit, la violence de la passion. La révolte, aussi. Comment aurait-il pu en être autrement quand, pour assurer le salut du peuple celte, son propre père l’avait fiancée de force ?. Alors, lui, Athelbrand, avait voulu la sauver. Pour la libérer des chaînes de la fatalité, il avait sacrifié sa fortune afin de racheter sa dot – en vain, car, sitôt libre, Alina l’avait trahi. Mais à présent, rétabli dans ses droits, il était venu chercher son dû. L’heure de la vengeance avait sonné…
Dans ce roman, nous faisons la rencontre de Alina qui a trahi un homme qui se prénomme Brand. Ce de dernier est bien décidé à la retrouver à lui faire payer l’affront qu’elle lui a fait. Evidemment tout ne se passera pas comme prévu puisque nos deux héros sont toujours attirés l’un par l’autre. Bon, avouons le toute suite, je suis passée à côté de cette lecture et pas q’un peu. Pourtant l’histoire avait tout pour me plaire mais je crois que mon soucis vient de la plume de l’auteure. Je vous rappelle qu’une chronique, c’est quelque chose de très subjective et que vous pouvez… vous adorer la plume de Helen Kirkman. Néanmoins pour justifier ma chronique je vais entrer un peu plus dans les détails.
L’histoire en elle-même est chouette et les personnages sont comme je les aime. Ils ont du cran, du caractère et j’adore quand les personnages se détestent au début du roman. C’est clairement le cas ici avec Brand et Alina. Tout d’abord Brand croit qu’Alina est morte alors que cette dernière s’est réfugiée volontairement dans un couvent et elle veut qu’il la croit morte. Je comprends qu’il soit en colère contre elle. Il veut comprendre pourquoi elle a fait ça mais évidemment la demoiselle n’est pas vraiment d’accord pour s’expliquer. L’histoire et les personnages, c’est okay pour moi. Cela me va très bien et cela aurait pu faire un super roman si les choses avaient peut-être été amenés de façon différentes sans parler de la plume de l’auteure.
On va d’abord parler de l’histoire avant de revenir sur le style. Il y a quelque chose qui m’a dérangé et une autre que j’aurais bien aimé voir. Nos deux protagonistes ont un passé commun et au final nous n’en savons pas grand chose. Pour moi, cela manque à l’histoire. On apprend leur « passé » grâce à des brèves discussions qu’ils peuvent avoir dessus . Ils manquent clairement des Flash-backs. Je pense que cela aurait été simple à mettre à place et que c’est nécessaire pour que le lecteur comprenne tout les tenants et les aboutissements aujourd’hui. Je me suis même demandée s’il n’y avait pas un premier tome que je n’avais pas lu et qui expliquait pourquoi je me sentais un peu perdue dans ma lecture. Après vérification, il n’y a pas de premier tome… Donc je pense qu’on avait vraiment besoin de sauts dans le passé pour apprendre à connaître l’histoire de Brand et d’Alina de A à Z et surtout comprendre leur relation.
Maintenant je vais vous parler du style de l’auteure. Personnellement je n’ai pas accroché et j’ai parfois du lire deux fois une page pou comprendre ce que l’auteure voulait dire. Quand je lis ce type de romance, je n’ai pas envie de réfléchir ou de me prendre la tête. Après je ne sais pas si c’est un soucis de traduction ou le style de l’auteure mais c’est vraiment ce « problème » qui m’a empêché de profiter pleinement de ma lecture. J’ai du faire plusieurs pauses durant celles-ci et c’est pas quelque chose que j’apprécie faire. Au final, terminer ce roman fut plus pour moi une « corvée » qu’un « plaisir » et ce n’est pas ce que je recherche dans une lecture. Bref, je déteste faire ce genre de chronique mais j’avais envie de vous expliquer pourquoi ce roman ne m’avait pas séduite.
Pour résumer et conclure ma chronique sur « La princesse Celte » de Helen Kirkman, vous l’aurez compris, malheureusement je n’ai pas été séduite par ce roman et cela vient pour beaucoup de la façon dont l’histoire est écrite. En même temps, c’est plutôt rassurant de ne pas tout aimer et ce n’est pas cette expérience qui m’empêchera de découvrir de nouveaux titres de la collection Victoria de chez Harlequin. J’aime trop les Romances Historiques pour m’arrêter.
Quelques informations sur La princesse celte:
Edition: Harlequin, Collection Victoria
Date de sortie: 1er janvier 2019
Nombre de pages : 373 pages
Prix: 7.90 euros
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