Sexy, barbu et écossais de Elizabeth Crest
Quand j’ai vu le titre de ce roman, j’ai cru que j’étais entrain de rêver… Vous connaissez probablement maintenant ma passion pour les highlanders et tout ce qui est en rapport avec l’Ecosse. Je me suis donc rapidement arrêtée sur ce livre à cause de son titre mais aussi de sa jolie couverture. On ne peut pas dire que le monsieur dessus soit désagréable à regarder. Après cette première étape, j’ai quand même été lire le résumé de ce roman et je me suis que je devais le lire et cela sans attendre. Parfois je suis d’une nature impatiente… En fait tout le temps. Bref aujourd’hui je viens donc vous parler de « Sexy, barbu et écossais » de Elizabeth Crest paru dans la collection HQN chez Harlequin. Je ne pense pas dire de bêtises en vous disant que c’est le premier roman d’Elizabeth Crest et que je pense que ce nom est un pseudonyme comme pour beaucoup d’auteurs chez HQN.
Comme à mon habitude, je vous laisse avec la couverture du roman et le résumé de celui-ci. Je vous retrouve juste après pour vous donner mon avis plus en détail sur cette lecture.
Livré avec ou sans kilt ?
Dans la vie, il y a des jours où, quoi qu’on fasse, on est condamné à passer une journée affreuse. Aujourd’hui, c’est typiquement un de ces jours pour Annette O’Keefe. Car elle devait se rendre à Édimbourg pour un shooting photo avec le plus grand acteur hollywoodien du moment,
Mac Lennox. Ça, c’était la théorie. Dans la pratique, Annette a été retardée par un désagréable contretemps à quatre pattes – alors qu’elle déteste les chiens –, aimablement refourgué par sa voisine partie en vacances. Du coup, elle est arrivée en retard. Un retard inqualifiable, inexcusable, injustifiable selon Mac Lennox. Naturellement, il a été odieux avec elle. Forcément, Annette ne s’est pas laissé faire – merci les gènes irlandais. Immanquablement, la « conversation » a viré à la grosse, très grosse dispute… et, inéluctablement, c’est Annette qui risque de se faire virer. Tout ça à cause d’un chien, donc. Et d’un acteur sexy, têtu et écossais. Un acteur qui pourrait bien lui réserver quelques surprises…
Vous l’aurez rapidement compris dans mon introduction, ce roman n’est pas resté très longtemps dans ma liseuse. Il fallait que je le lise car ça se déroulait en Ecosse et que la quatrième de couverture vendait quand même du rêve. J’avoue que j’ai été un petit peu perturbé au début de cette lecture par notre heroïne qui se prénomme Annette – comme dans premiers baisers – car je n’arrivais pas à la comprendre tout comme notre charmant héros Mac Lennox. C’est une jeune femme assez complexe et j’avoue que même si j’ai eu des éléments de réponses sur le pourquoi de son comportement vers la fin du roman… Je ne comprends pas encore tout. Je veux dire par là que je n’aurais pas agit de cette manière. Bon rassurez-vous de suite ce n’est pas un personnage agaçant ou quelque chose comme ça. Je pense surtout que ça touche un domaine dont je ne suis pas spécialiste et que je ne peux donc pas tout comprendre. Vous verrez si vous le lisez mais je ne vais pas trop en dire dans cette chronique.
Il est temps pour moi de vous parler de Mac Lennox. En lisant la quatrième de couverture, je m’étais déjà faite une petite opinion sur lui et elle n’était pas réellement flatteuse… Je me suis trompée sur toute la ligne. En fait c’est plutôt Annette qui est vache avec lui et non l’inverse. Je suis rapidement tombée sous le charme de cet homme qui n’est pas tout jeune. Oui, il a 44 ans et j’ai trouvé ça formidable qu’il n’ait pas 30 ans comme tous les héros qui nous font fantasmés habituellement dans ce genre de romance. Je me suis rapidement attachée à lui et j’ai découvert un homme qui se cherche toujours malgré son âge et qui souhaite se poser, fonder une famille même si c’est difficile avec sa profession et carrière.
Dans cette romance, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup d’humour. J’ai rigolé à plusieurs reprises car la pauvre Annette se retrouve quand même dans des situations pas possibles et parfois notre cher Mac ne se fait pas prier pour appuyer ou ça fait mal. C’est une belle comédique romantique que nous offre ici Elizabeth Crest pour le premier roman d’elle que je découvre. J’ai passé un très bon moment de lecture. C’est une romance qui se lit très rapidement même si elle fait 275 pages au format numérique. Quand on commence, on a quand même du mal à s’arrêter car il se passe beaucoup de choses même si l’action est assez courte dans le temps car cela se passe en deux ou trois semaines.
C’est un plaisir de voir l’action se dérouler en Ecosse et plus particulièrement à Edimbourg. J’avoue que ça me donne encore plus envie de m’y rendre cet été et de visiter cette ville à mon tour. J’avoue que j’ai quand même une petite déception… Mon dieu, Mac Lennox n’a jamais porté le kilt dans cette histoire! Non mais oh! Je ne suis pas d’accord… Bon allez, je vais quand même lui pardonner car c’est un personnage qui m’a séduite de la première à la dernière page et qu’il a un coeur en or. Pour être honnête, si j’avais une petite critique à faire sur ce roman… Cela concernerait le personnage d’Annette que j’ai eu du mal à cerner mais rien de bien dramatique.
Pour résumer et conclure cette chronique, je dirais que j’ai passé un bon moment de lecture en compagnie de ce charmant Ecossais et que c’est un plaisir de découvrir la plume d’une nouvelle auteure de chez HQN. Pour ma part, j’ai bien accroché à son style, à sa plume et j’espère que nous pourrons très bientôt découvrir d’autres récits d’Elizabeth Crest et si ça se passe en Ecosse… Je pourrais bien commencer à l’idolâtrer.
Quelques informations sur Sexy, barbu et écossais:
Édition: Harlequin, collection HQN
Date de sortie: 10 février 2016
Prix: 5.99 euros
Nombre de page: 275 pages
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