La malédiction de la zone de confort de Marianne Levy
Aujourd’hui je viens vous présenter un nouveau roman et il s’agit de « La malédiction de la zone de confort » de Marianne Levy publié chez Pygmalion. Je vous avoue que je suis dans un premier temps tombé sous le charme du titre et de la couverture du roman. Ce sont ces deux éléments qui m’ont donné envie de découvrir la quatrième de couverture et après de lecture de celle-ci, j’avais littéralement envie de me jeter sur cette lecture. Je profite de cette chronique pour remercier Marianne Levy pour cet envoi et aussi pour la jolie dédicace. Je suis vraiment ravie d’avoir pu découvrir cette lecture que j’ai adoré.
Comme à mon habitude, je vous laisse avec la couverture du roman et le résumé de celui-ci. Je vous retrouve juste après pour vous donner mon avis plus en détail sur cette lecture.
Rose a (presque) tout pour être heureuse.
Après 763 auditions infructueuses elle a enfin décroché son premier grand rôle dans la série télé de l’année. Elle peut compter sur le soutien d’une joyeuse bande et d’un fiancé imaginaire avec qui elle assure vivre, enfin, une relation équilibrée. Son unique manque ? Un précieux recueil de poésie médiévale dont elle a besoin pour calmer son émotivité pathologique.
Ben n’a (presque) rien pour être heureux.
En panne d’émotions, le scénariste et auteur de polars n’arrive plus à écrire une ligne. Il se noie dans un quotidien sinistre qu’il dissimule mal à ses deux seuls amis. Son unique réconfort ? Les mails hystériques d’une dingue qui lui réclame un bouquin comme une naufragée, une bouée au milieu du Pacifique.
Ils étaient faits pour ne PAS se rencontrer.
Probabilité qu’ils vivent un jour heureux ensemble : nulle.
Probabilité qu’une probabilité soit fausse : non négligeable.
Et si la vie déjouait les algorithmes ?
Dans ce roman, nous faisons la rencontre de Rose qui est une jeune actrice à la recherche du rôle qui fera décoller sa carrière. Elle semble l’avoir trouvé puisqu’elle a décroché un second rôle très important dans la série de l’année qui fait beaucoup de bruit avant même de sortir. Elle est ravie mais tout ne passe pas comme prévu quand on lui fait comprendre que son personnage peut mourrir très rapidement dans ce projet pour apporter plus de piquant à la série et créer une certaine addiction chez le téléspectateur. De plus, elle n’a plus à porté de main son précieux recueil de poésie médiéval qui lui permet de se calmer car celui-ci a été emprunté par un homme qui ne semble pas presser de le ramener… Et c’est difficile pour moi mais je ne vous en dirais pas plus.
Ce roman, je l’ai débuté durant une période un peu difficile pour moi dans le sens où j’avais très peu de temps pour moi, pour lire. J’étais vraiment fatiguée quand je rentrais le soir chez moi et je n’avais pas envie de grand chose et pourtant je prenais le temps de lire quelques chapitres avant de rejoindre les bras de Morphée et ça me faisait énormément de bien. Il est vrai que je n’arrive pas à trouver les mots justes pour décrire cette lecture mais je pense qu’on peut clairement dire que c’est un roman Feel Good. Marianne Levy nous écrit que « La malédiction de la zone du confort » est sa déclaration d’amour à la comédie romantique et bien je trouve que c’est une déclaration plus que réussie et surtout vraiment juste. Je vous ai déjà dire que j’avais vraiment adoré cette lecture? Non parce que je m’excuse par avance mais je risque de le répéter très souvent.
Il s’agit du premier roman de Marianne Levy ( j’avais déjà lu sa nouvelle dans le recueil de la Team de la comédie romantique ) que je lisais mais dès les premiers chapitres, j’ai été charmé par sa plume, son univers et ses personnages. Il est vraiment difficile de ne pas s’attacher à Rose dans laquelle beaucoup de femmes peuvent se retrouver. Enfin je vous avoue que je ne suis pas émotive comme elle et je n’ai pas besoin de mon recueil de poésie médiéval ( juste d’une bonne romance historique avec un highlander pour ma part ) pour m’apaiser mais sur d’autres points, je me suis retrouvée en elle. Elle est fraîche, naturelle, attachante. Ce n’est pas non plus une femme parfaite. On souhaiterait vraiment l’avoir comme amie cette héroïne. En ce qui concerne Ben, difficile de ne pas tomber sous son charme. Il semblerait que ce soit la première fois pour l’auteure crée un personnage masculin principal et j’ai envie de la rassurer et lui dire que c’est clairement réussi et que mon petit coeur marshmallow a fondu comme neige au soleil. C’est loin d’être un prince charmant ( enfin si un peu quand même ) mais on ne peut que l’aimer et presque lui vouer un culte. S’il avait choisi l’Ecosse au lieu de l’Irlande pour trouver l’inspiration, je pense que je l’aurais demandé directement en mariage. Il aurait probablement refusé mais j’aurais essayé.
Dans ce roman, il y une jolie histoire de quiproquo car nos deux héros vont se rencontrer sans savoir ce qu’ils font réellement dans la vie. Dès le début de roman, nous lecteurs, on le sait et c’est assez amusant de savoir qu’eux ne savent pas… Bon j’avoue qu’il arrive un moment où on est aussi effrayé de savoir comment ils vont réagir quand tout va se savoir. Et il est vrai que ce n’est pas beau à voir mais il faut faire confiance en Marianne Levy. Après tout c’est une déclaration d’amour à la comédie romantique alors comment ça pourrait mal se finir? J’ai aussi beaucoup aimé les références cinématographiques aux comédies romantiques car notre héroïne est fan de ce type de films mais aussi à d’autres univers que Ben apprécie plus que les comédies romantiques. J’ai aussi aimé le petit côté rétro de Rose ( dans lequel je me suis retrouvée ) qui ne croit pas en l’amour avec un speed dating ou grâce à des applications comme Tinder.
Pour résumer et conclure ma chronique sur « La malédiction de la zone de confort » de Marianne Levy, j’ai adoré ce livre du début à la fin et il m’a fait énormément de bien. C’est une jolie lecture qui m’a fait passé un super moment de lecture. De plus, si vous avez une petite baisse de régime en ce moment, n’hésitez pas à découvrir ce roman car vous en ressortirez avec un joli sourire sur les lèvres et vous n’aurez pas vu le temps passer en dévorant ce roman.
Quelques informations sur la malédiction de la zone du confort:
Edition: Pygmalion
Prix: 19.90 euros
Date de sortie: 11 octobre 2017
Nombre de pages: 377 pages
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Ta chronique donne envie de le découvrir !
Si tu le lis tu ne le regretteras pas, fais moi confiance 🙂
J’ai encore le sourire en repensant à cette lecture <3