Les coulisses du blog

Très souvent, j’ai des questions sur le blog, sa gestion, les logiciels que j’utilise ou encore sur les services presse. Je me suis dit que ça serait plutôt chouette de vous faire un article où je vous parle de tout ça. Si après la lecture de celui-ci, vous avez encore des questions, n’hésitez pas à les poser en commentaires, je répondrais avec plaisir. J’ai toujours été « transparente » avec vous et ça continuera ainsi. Je n’ai rien à cacher.

Le blog existe depuis aout 2013. Il va donc fêter ses 8 ans en aout 2021. J’ai toujours du mal à me dire qu’il est aussi ancien que cela. Je prends toujours autant de plaisir à publier dessus et peut-être même encore plus. Au tout début, il était hébergé sur Free (hébergeur gratuit) mais je me suis rapidement rendu compte que j’étais limitée, très limitée et j’ai basculé sur un hébergeur payant et je ne le regrette pas. La malle aux livres est hébergée depuis septembre 2013 chez LWS et c’est à ce moment-là que j’ai acheté le nom de domaine qui va avec « Lamalleauxlivres.com ». Si ma mémoire est bonne, je paie chaque année pour l’hébergement et le nom de domaine, un peu plus de 40 euros. Je vous avoue que je suis très heureuse de ce service malgré le fait que j’ai subi quelques bugs durant les dernières années.

Pour la malle aux livres, j’utilise WordPress qui est système de gestion de contenu gratuit, libre et open-source. J’ai installé aussi un thème gratuit et j’ai fait quelques modifications au niveau de codage pour qu’il corresponds exactement à ce que j’avais dans ma petite tête. En ce qui concerne l’illustration actuelle, elle a été faite par une artiste que j’ai trouvé sur le net et le logo par l’adorable Faith du site Obsession27

Nous n’allons pas nous mentir aujourd’hui les réseaux sociaux, c’est important. D’ailleurs, depuis quelques temps, j’ai l’impression que les gens passent plus de temps sur les réseaux sociaux du blog que ce dernier lui-même, mais je sais que ce n’est pas réservé exclusivement à la malle aux livres. C’est une évolution des choses. Pour ma part, avec le blog, je suis présente sur plusieurs réseaux qui sont : Facebook, Instagram et Twitter. J’ai publié aussi quelques vidéos sur Youtube, mais je n’arrive pas à trouver le format qui me convient là-bas donc j’ai un peu abandonné le truc.

Comme je disais, c’est important d’être présent sur les réseaux, car c’est plutôt là-bas qu’on fait connaître ce qu’on fait sur son blog/site. C’est en publiant sur Facebook, Twitter ou Instagram que je fais découvrir aux gens mon univers et ce que je le lis. Je n’hésite pas non plus à taguer les éditeurs et les auteurs sur mes publications. Dans le monde le plus parfait, je souhaiterais pouvoir publier quotidiennement là-bas mais j’avoue que je n’y arrive pas. Il faudrait clairement que j’arrive à me dédoubler pour pouvoir réussir. Il y a donc des moments où je suis plus présente que d’autres et avant tout j’apprends à suivre mes envies. Je ne dois jamais me sentir obligée de le faire, mais avoir juste envie de le faire.

De plus, je fais le choix de vous montrer seulement ce que j’ai envie sur mes réseaux sociaux et cela concerne les livres et surtout le « positif« . La vie est loin d’être toujours cool et je n’ai pas envie de partager mes problèmes ou mes soucis avec vous. De plus, je suis aussi très « pudique » donc il est certain que je compartimente ma vie et que je choisis les sujets que j’aborde avec soin. Enfin rassurez-vous, si je trouve un charmant et sexy écossais sorti de son roman, je vous le présenterai quand même.

 

D’ailleurs, dernièrement j’ai publié un petit post sur Instagram pour éclaircir certaines choses puisque j’en avais vraiment ressenti le besoin. J’avais envie d’être honnête avec vous et je pense que parfois faire une piqure de rappel, cela ne fait pas de mal.

Dernièrement j’ai trouvé cette jolie illustration très représentative et je me suis dit que je devais la mettre dans cet article car elle est très claire et visuelle. C’est une création de Catherine Testa du compte instagram Et si on souriait.

Retrouvez les réseaux sociaux de la malle aux livres.  

Alors, je sais que nous n’avons pas tous les mêmes méthodes et c’est la mienne dont je vais vous parler aujourd’hui. Pour ma part quand je lis un roman, je lis un roman et je me laisse totalement porter. Je ne prends donc aucune note. Je ne l’ai d’ailleurs jamais fait. En revanche, je sais que j’écris toujours ma chronique très vite après avoir terminé ma lecture. Je la rédige le jour même ou dans les jours qui suivent pour vraiment me rappeler de tout et rien oublier. Je parle vraiment de mon ressenti personnel et de comment j’ai vécu ma lecture. Je n’ai pas du tout de plan ou de trame. J’y vais vraiment au feeling. Je ne publie pas mes chroniques le jour où elles sont écrites, mais souvent quelques jours plus tard. Cela me permet de faire une relecture juste avant de les publier et de vérifier qu’elles sont plutôt correctement écrites et qu’il y ait pas de coquilles.

Evidemment, dans une chronique, mon but n’est pas de descendre un roman, car il y a beaucoup de travail fourni par l’auteur. De plus, il en faut vraiment pour tous les goûts et une histoire qui ne m’a pas plus pour x raison peut très bien plaire à quelqu’un d’autre. La lecture, c’est quand même quelque chose d’assez subjectif donc je fais en sorte de toujours rester bienveillante dans mes chroniques sans pour autant vous mentir. Quand un roman ne m’a pas séduit, je vous le dis et je vous explique pourquoi.

D’ailleurs, saviez vous qu’il était bien plus simple pour moi de rédiger une chronique d’un roman qui ne m’a pas charmé que l’inverse? Il est tellement plus facile d’expliquer pourquoi une histoire ne m’a pas séduite, car on connait souvent déjà les raisons. Quand j’ai adoré un roman, ce n’est pas toujours simple d’expliquer pourquoi et quand j’ai eu un coup de coeur…. C’est encore plus compliqué puisque j’ai l’impression que mes mots ne rendent pas justice à l’histoire et à tout ce qu’elle a pu me faire vivre et ressentir.

Il est vrai que depuis plusieurs années, j’ai de la chance de recevoir des services presse venant de maison d’éditions ou même directement d’auteurs.  C’est une chance, je le conçois mais c’est aussi une sorte de confiance qui s’est installée entre eux et moi. Quand j’accepte de recevoir un roman, je m’engage à le lire et à donner mon avis que j’ai aimé ou non. Je ne fais pas de différence entre un roman que j’aurais acheté et un roman que je reçois. Je suis totalement libre d’écrire ce que je veux sur mes lectures et si je n’avais pas cette liberté, je n’accepterai pas les services presse.

A l’heure d’aujourd’hui, je travaille avec de nombreux éditeurs que j’adore et qui sont : Hugo New Romance, Harlequin, J’ai lu, Milady, Lumen, Milan ou encore BMR.  Ponctuellement, je reçois aussi des services presse d’autres éditeurs lorsqu’un roman particulier m’est proposé ou que j’ai envie d’en découvrir un. Il est difficile pour moi de vous expliquer exactement comment fonctionne les services presse dans le sens ou chaque maison édition a son fonctionnement et que je ne vais pas tout vous détailler.

Mais pour résumer le fonctionnement, la plupart du temps, je reçois le catalogue des prochaines sorties et je peux faire un choix (souvent limité en nombre et je le conçois) de livres que je voudrais découvrir. Les services presse peuvent être des romans papiers, mais aussi des romans numériques. Nous avons aussi un délai pour publier nos chroniques et très souvent il est d’un mois. En même temps le but de l’éditeur est souvent de faire connaître le livre au moment de la sortie et c’est pour ça qu’on a ce délai. De plus, si vraiment, on ne peut pas publier sa chronique exceptionnellement, on envoie un petit mail à l’éditeur en expliquant la raison et celui-ci se montre compréhensif. Le maître mot pour moi dans cet échange avec un éditeur ou un auteur est confiance et communication.

Depuis le début du blog, l’auto-édition s’est aussi beaucoup développée et j’ai aussi la chance de collaborer avec des auteurs auto-édités et personnellement c’est aussi quelque chose que j’adore.

Sachez qu’aujourd’hui si les services presse s’arrêtaient, ce n’est pas pour ça que ça serait la fin du blog. J’adore lire, j’adore partager mes avis avec vous. Alors, évidemment, si je n’avais plus la chance de recevoir des romans, il y aurait peut-être un peu moins de nouveautés  qui seraient chroniquées (financièrement parlant, je ne pourrais pas me le permettre) mais il y aurait toujours de nombreuses chroniques sur la malle aux livres.

Pour moi un service presse reste un échange avant tout avec un éditeur ou un auteur. Je reçois le livre (papier ou numérique) et je m’engage à le faire connaître au travers d’une chronique (positive ou négative, mais toujours bienveillante, car c’est comme ça que je fais) et peut-être de quelques photos sur les réseaux sociaux. A savoir aussi que malheureusement je ne peux pas accepter toutes les propositions de services presse qu’on me fait, car je n’ai pas le temps de lire autant que cela, mais aussi parce que certains livres ne sont pas du tout dans mes goûts. Quand j’accepte de découvrir un roman en service presse, c’est que j’ai vraiment très très envie de le découvrir et que j’aurais pu l’acheter. Il m’arrive donc très souvent de répondre « non » par manque de temps ou parce que le roman ne me fait pas envie. Durant les premiers temps, je culpabilisai de dire non, mais on a le droit de dire NON et pour ma part, j’ajoute toujours une petite explication à mon refus.

Il n’est pas toujours facile de trouver du temps, mais quand on peut, on veut. Pour ma part, je travaille plus de 41 heures par semaine et j’ai un peu de route pour me rendre au travail. Il est donc compliqué de trouver du temps en semaine pour bosser un peu sur le blog. En ce qui concerne la rédaction de chroniques, je le fais souvent le week-end, mais aussi durant ma pause déjeuner la semaine.  J’avoue que j’aime être à jour dans l’écriture de mes chroniques (c’est quelque chose qui me stresse un peu beaucoup…) et donc c’est la première chose que je fais si j’ai un peu de temps devant moi. Dans le monde le plus parfait, j’apprécie rédiger ma chronique dès la fin de ma lecture et avant de passer à un autre roman. Evidemment dans la réalité, ce n’est pas toujours possible.

Après, je travaille pas mal sur le blog le dimanche matin quand je suis en pyjama et avec un bon plaid sur mes genoux. C’est d’ailleurs à cette période de la semaine que je suis en train d’écrire cet article. De plus, la période sanitaire actuelle fait qu’on est encore quand même un peu plus chez nous que normalement.
Le dimanche, dans la journée, c’est aussi le moment où j’envoie la newsletter hebdomadaire aux abonnés. C’est quelque chose d’assez récent la newsletter mais j’avoue que j’adore la préparer, l’écrire et l’envoyer. De plus, cela permet aux abonnés de rattraper leur retard s’ils ne sont pas passés sur les réseaux sociaux.

J’essaie donc de préparer un maximum de choses le dimanche ou parfois le mercredi après midi,  mais je n’écris pas tous les jours sur le blog et je n’y passe pas non plus quotidiennement. En même temps, parfois, je n’allume même pas mon ordinateur portable en rentrant du travail, car j’ai déjà passé toute ma journée devant un écran. Je préfère me plonger dans une belle histoire et tout oublier. Après lorsque je suis en vacances, c’est une autre chose que j’ai beaucoup plus de temps à consacrer à la malle aux livres.

Il existe aussi la possibilité de planifier ses publications et c’est quelque chose que je fais de plus en plus et notamment sur Facebook. Cela me permet d’avancer le week-end et que vous ayez des choses à découvrir durant la semaine quand je n’ai pas le temps de passer et encore moins de poster.

Le logiciel que j’utilise le plus et que j’aime d’amour… C’est Canva. En fait, c’est une application gratuite sur le net et c’est avec celui-ci que je fais la plupart de mes montages. Depuis que j’ai découvert cette application, mon boulot a été bien facilité. Aujourd’hui, je ne peux plus m’en passer et je le fais souvent découvrir à d’autres personnes qui deviennent fan. De plus, il y a aussi une super application pour le téléphone portable en plus de celle disponible pour ordinateur. Bref, je suis conquise.

Ponctuellement j’utilise aussi photoshop pour mes photos instagram. C’est souvent pour gérer la luminosité des photos et le recadrage de celles-ci.

Lorsque je fais des vidéos, j’utilise Imovie pour faire le montage. C’est un outil que j’aime énormément et qui est devenu très intuitif pour moi puisque je l’ai beaucoup utilisé dans le passé.

Pour la newsletter, j’utilise Mailerlite que j’aime énormément. Je trouve qu’il me donne une certaine liberté de mise en page et je peux faire quelque chose que j’aime envoyer, quelque chose qui me ressemble.

Je pense que j’ai fait le tour des logiciels que j’utilise. Il y en a pas beaucoup, mais je les utilise depuis un moment et c’est vraiment ceux qui me correspondent.

Ponctuellement il m’arrive de mettre en avant un roman plus que les autres. Pourquoi? Parce que je l’ai souvent adoré et que j’ai envie de le montrer encore. Je pense qu’il vaut réellement le détour et qu’il est à découvrir.  Auparavant, il m’est arrivé de participer à des blogs tour (opération de promotion d’un roman en particulier) avec des copines blogueuses mais j’avoue qu’aujourd’hui, je le fais moins, voir plus du tout. Pourquoi? Tout simplement par manque de temps et qu’il est parfois difficile de s’engager à publier des choses à des dates précises.

Je préfère faire différemment aujourd’hui et je me mets donc beaucoup moins de presses. Quand je veux réellement faire connaître un roman, je m’organise ma petite semaine de promotion autour de ce titre avec des publications sur les réseaux sociaux toute la semaine. Il y a souvent des citations, ma chronique, mais aussi une interview vidéo de l’auteur et de nombreuses autres petites choses. C’est souvent quelque chose que je prépare plusieurs semaines en amont et donc je ne suis pas « stressée » . Je m’y retrouve vraiment dans cette façon de faire qui me correspond beaucoup mieux.

Je choisis donc vraiment les romans que je veux mettre en avant et on ne me les impose pas.

 

J’ai la possibilité de recevoir beaucoup de services presse et je me dis toujours qu’on doit donner quand on reçoit. Aujourd’hui avec la situation sanitaire c’est peu plus compliqué de faire des concours (pour faire les envois) mais j’essaie toujours. Sur le blog, il y a deux sortes de concours. Il y a ceux organisés en partenariat avec la maison d’édition. C’est-à-dire que j’organise le concours, je fais le tirage au sort et quand j’ai le nom et l’adresse du gagnant, je me contente de transférer l’adresse à la maison d’édition pour qu’elle envoie le lot.

Et après il y a les concours que j’organise de mon côté avec les livres qui sont les miens ou que j’achète pour l’occasion. Depuis un peu plus d’un an maintenant j’essaie d’organiser ponctuellement (ou pour des occasion spéciales) des concours avec des romans que je ne garde pas (service presse ou achat personnel). Je regroupe pour en faire un box que je fais gagner aux abonnés du blog. D’ailleurs actuellement il y a une box de 17 romans à gagner sur instagram. Après je m’occupe personnellement de l’envoi du colis sur mes propres deniers. Je préfère donc regrouper les livres pour faire gagner une grosse box ponctuellement qu’un livre par ci par là. D’abord cela me reviendrait bien plus cher au niveau envoi et dans un second temps… Je serais tout le temps en train d’envoyer des colis et ça aussi ça demande du temps. J’essaie donc toujours de faire au mieux et de pouvoir vous gâter autant que je peux.

Parfois la frustration est quand même aussi très présente quand je vois les concours, que j’organise, qui arrivent sur des sites concours. Vous êtes certains ensuite de vous retrouver avec une vague de gens qui ne sont pas des abonnés fidèles qui veulent juste GAGNER un truc. Je ne suis même pas certaine qu’ils liront le livre qu’ils pourraient gagner…  J’essaie donc de diversifier mes concours en les publiant jamais sur les mêmes réseaux pour perdre ces bêtes à concours comme je les appelle.

Vous ne le savez peut-être pas, car ce n’est pas quelque chose que je dis souvent, mais je fais de la bêta lecture pour certaines auteurs qui sont aussi aujourd’hui des amies. On m’a demandé dernièrement comment ça fonctionnait et c’est pour ça que je l’ai ajouté à cet article même si ce n’est pas réellement rattaché au blog. En fait, la bêta lecture, c’est avoir la possibilité de lire le texte, le roman d’un auteur après qu’il l’ait écrit avant qu’il ne l’envoi à sa maison d’édition. Vous avez donc la chance de découvrir une histoire avant tout le monde, mais votre BUT avant tout est de tout décortiquer pour voir si tout colle ou s’il y a des soucis. Personnellement c’est quelque chose que j’adore faire mais qui demande beaucoup de temps et d’investissement. Je le fais pour peu de personnes et surtout pour des gens que j’estime énormément et donc je suis amoureuse de leur plume. Nous avons donc Julie Saurel, Anna Briac, Mily Black et Natacha J. Collins. Je crois que je n’oublie personne.

La plupart du temps, j’ai un fichier texte et j’annote énormément. J’y vais vraiment au feeling. Je laisse un petit commentaire quand je ris, quand je suis triste, quand je me pose des questions, quand quelque chose me chiffonne. En fait, j’exprime tout ce que je ressens à l’écrit pour aider l’auteure. Je suis d’ailleurs dernièrement passée même aux notes audio en bêta lecture. J’adore cela et puis c’est encore plus spontanée. Je cherche aussi évidemment la petite bête (avec que de bonnes intentions) car je dois vérifier que toute l’histoire colle et qu’il n’y ait pas d’incohérences. Je fais de la bêta lecture pour des auteurs très talentueuses donc il y a souvent très peu de choses à corriger et je profite donc pleinement de cette expérience et je me laisse porter par leurs belles histoires. C’est quelque chose que j’adore et qui est aussi enrichissant. De plus, je trouve que cela aiguise aussi mon cerveau de lectrice. Bref, c’est quelque chose que je veux vraiment continuer et je trouve que c’est une très bonne expérience.

 

Nous sommes déjà la fin de cet article et c’est plus de 3000 mots que j’ai écrit pour vous expliquer un petit peu comment fonctionnait le blog et moi par la même occasion. Au bout de presque 8 ans d’existence, je me suis dit que je vous devais bien quelques explications et surtout je désire toujours et encore être transparente avec vous. J’adore publier sur la malle aux livres et partager avec vous quotidiennement. Les choses évoluent et cela très souvent donc ma façon de faire aussi. Je m’adapte et surtout je fais en sorte de prendre toujours autant de plaisir à écrire sur ce blog et les réseaux sociaux rattachés à celui-ci. Le jour où je ne prendrais plus de plaisir, ça sera le début de la fin de la malle aux livres, mais ce n’est pas prêt d’arriver, croyez-moi.

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