FAKE FAKE FAKE ! de Zoë Beck
Il y a plusieurs mois de cela, j’ai découvert la collection Macadam chez les éditions Milan grâce à la trilogie des Gemmes de Kerstin Gier et plus particulièrement « Rouge Rubis ». J’ai découvert quelque temps plus tard, la trilogie Half Bad et aujourd’hui j’ai la chance de pouvoir être partenaire avec eux et de pouvoir découvrir leurs ouvrages pour l’année à venir. C’est une de leur nouvelle sortie donc je viens vous parler et il s’agit de « FAKE FAKE FAKE! » qui est sorti le 6 janvier dernier. J’avoue que dans un premier temps, je suis tombée sous le charme de cette couverture atypique et colorée. Il n’est pas resté longtemps dans ma pile à lire – qui doit clairement descendre – puisque je l’ai commencé le lendemain du jour où je l’ai reçu.
Comme à mon habitude, je vous laisse avec la couverture du roman et le résumé de celui-ci. Je vous retrouve juste pour vous donner mon avis plus en détail sur cette lecture.
Un prénom pourri, des chaussures taille 49 : Edvard, 14 ans, pas un poil sur le torse, est mal parti pour séduire Constance. Alors, sur Facebook, il devient Jason, Américain en voyage scolaire. La belle croque à l’hameçon et en demande toujours plus. De mensonge en mensonge, la machine s’emballe…
C’est un livre qui est vraiment adapté pour les plus jeunes et je trouve ça vraiment formidable mais il peut très bien être par des adultes. Pour ma part, j’ai beaucoup apprécié ma lecture même si je l’ai lu en très peu de temps. C’est un roman qui fait un peu plus de 200 pages – et la police d’écriture est plutôt grande – et dans ce roman, on suit les aventures de Edvard qui est un adolescent de 14 ans mal dans sa peau. En fait, ce livre, c’est son journal intime. Il nous raconte ce qu’il vit, ce qu’il ressent et nous explique ses projets.
Pour moi c’est un roman qui est vraiment dans l’air du temps. On parle beaucoup des réseaux sociaux et notamment de Facebook. Aujourd’hui les jeunes ont accès de plus en plus tôt aux réseaux sociaux et je ne sais pas si c’est une bonne idée. Pour ma part, en tant qu’adulte, c’est un peu le message qui est ressortit pour moi de cette lecture. Edvard, qui est un adolescent attachant, peut en quelques clics se créer un alter-ego américain qui est beaucoup plus populaire et célèbre sans que personne ne le soupçonne. De plus, il perdra rapidement le contrôle de cet alter-ego qui porte le prénom de Jordan. A ce niveau là, je ne vous en dirais pas plus car c’est à vous de le découvrir au fur et à mesure de votre lecture.
J’ai trouvé qu’il y avait beaucoup d’humour dans ce roman et j’avoue que j’ai plains plusieurs fois notre héros d’avoir des parents végétariens mais ceux-ci ne sont pas si méchants et agaçants que peut le croire et le penser notre petit héros. En même temps, à 14 ans, on a toujours des choses à reprocher à ses parents. C’est l’adolescence.
En ce qui concerne l’écriture, pour ma part, je faisais la découverte de l’auteure Zoë Beck qui est allemande et j’ai été agréablement surprise. Le livre est écrit sous la forme d’un journal intime et il est très bien écrit. C’est très fluide et ce n’est pas compliqué à comprendre. Parfois nous avons seulement quelques phrases sur une page. Je trouve ça très bien dans le sens où ce livre peut vraiment être lu par les plus jeunes. Je sais qu’on dit à partir de 13 ans pour lire ce roman, mais j’avoue que je le mettrais dans les mains d’un jeune de 10 ans sans aucune hésitation.
Alors oui il y a cette histoire de profil virtuel mais il n’y a pas que ça. Edvard va beaucoup évoluer tout au long que dure ce récit mais il va aussi faire la rencontre de son voisin qu’il semble ne pas apprécier… Néanmoins il va apprendre aussi qu’il faut se méfier des apparences et qu’on peut faire de belles rencontrer et lier de belles amitiés là où on ne s’y attend pas.
Pour conclure et résumer cette chronique, je dirais que j’ai passé un bon moment de lecture en compagnie d’Edvard qui est un adolescent à qui on peut seulement s’attacher. J’ai vraiment apprécié la petite morale implicite sur les réseaux sociaux et le fait qu’il soit vraiment accessible pour les plus jeunes. Même quelqu’un qui n’aime pas trop lire, n’aura aucun mal à lire « FAKE FAKE FAKE! »
Quelques informations sur FAKE FAKE FAKE:
Edition: Macadam Milan
Date de sortie: 6 janvier 2016
Prix: 12.50 euros
Nombre de page: 210 pages
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