The Curse de Marie Rutkoski
Aujourd’hui je viens vous parler d’un roman que j’attendais avec impatience depuis que j’ai appris qu’il allait sortir en français chez la maison d’édition Lumen. Il est vrai qu’on ne peut que tomber amoureuse de la magnifique couverture de celui-ci mais j’avais aussi entendu beaucoup bien de ce livre. Je n’avais pas envie de passer à côté et il est vrai que je me suis jetée dessus assez rapidement après l’avoir ça. D’ailleurs, je me suis rendue compte que ça faisait un petit moment que je n’avais pas lu de Young Adult et que ça me manquait. A savoir que, « The Curse » est le premier tome d’une trilogie et que les deux autres livres sont déjà sortis en version originale. Je me dis qu’on aura probablement pas à attendre trop longtemps à avoir la suite. Pour ma part, je l’espère au vu de la fin de ce premier tome. D’ailleurs, il faut savoir que j’étais persuadée et que j’étais un One-shot et lorsque j’ai terminé ma lecture, je me suis dit que ce n’était pas possible vu comment l’histoire se terminait. J’ai été vraiment rassurée de voir qu’il s’agissait en fin de compte d’une trilogie.
Comme à mon habitude, je vous laisse avec la couverture du roman et le résumé de celui-ci. Je vous retrouve juste après pour vous donner mon avis plus en détail sur cette lecture.
Fille du plus célèbre général d’un empire conquérant, Kestrel n’a que deux choix devant elle : s’enrôler dans l’armée ou se marier. Mais à dix-sept ans à peine, elle n’est pas prête à se fermer ainsi tous les horizons. Un jour, au marché, elle cède à une impulsion et acquiert pour une petite fortune un esclave rebelle à qui elle espère éviter la mort. Bientôt, toute la ville ne parle plus que de son coup de folie. Kestrel vient de succomber à la » malédiction du vainqueur » : celui qui remporte une enchère achète forcément pour un prix trop élevé l’objet de sa convoitise.
Elle ignore encore qu’elle est loin, bien loin, d’avoir fini de payer son geste. Joueuse hors pair, stratège confirmée, elle a la réputation de toujours savoir quand on lui ment. Elle croit donc deviner une partie du passé tourmenté de l’esclave, Arin, et comprend qu’il n’est pas qui il paraît… Mais ce qu’elle soupçonne n’est qu’une infime partie de la vérité, une vérité qui pourrait bien lui coûter la vie, à elle et à tout son entourage.
Gagner sera-t-il pour elle la pire des malédictions ? Jeux de pouvoir, coups de bluff et pièges insidieux : dans un monde nouveau, né de l’imagination d’une auteure unanimement saluée pour son talent, deux jeunes gens que tout oppose se livrent à une partie de poker menteur qui pourrait bien décider de la destinée de tout un peuple.
Il est vrai qu’en commençant cette lecture, je ne savais pas trop à quoi m’attendre au niveau de l’histoire. Je veux dire par là que je savais que j’allais probablement adorer, j’avais confiance là dessus mais je ne savais pas quelle histoire j’allais réellement découvrir. J’ai été agréablement surprise et dès le début de ma lecture, je me suis laissée emportée par ce livre et je n’ai décroché que lorsque j’ai tourné la dernière page… Et encore ce fut pas obligation car il est certain que j’aurais enchaîné avec la suite si je l’avais eu à disposition.
Nous faisons la rencontre de Krestel qui est la fille d’un général très bien dans un empire qui cherche toujours à s’étendre plus et à réduire en esclavage les peuples qui se trouvent sur ces territoires. Sur un coup de tête, la jeune fille décide d’acheter un esclave qui semble sensiblement avoir le même âge qu’elle. Il faut savoir qu’elle l’a payé une petite fortune même si elle ne sait pas réellement pourquoi elle l’a acheté. Est-ce que parce que c’est lui? Ou parce qu’elle ne voulait pas perdre l’enchère? D’ailleurs on parle de malédiction du gagnant puisque même si elle a gagné l’enchère, qu’elle a récupéré cet esclave… Celui-ci n’en fera qu’à sa tête et qu’il ne laisse pas non plus insensible Krestel.
Krestel est assez jeune, et si ma mémoire ne me joue pas de tour, elle a 17 ans quand on la rencontre. Elle est en plein doute car dans le monde dans lequel elle vit… Une jeune femme doit se marier ou alors s’engager dans l’armée. Evidemment, Krestel ne sait pas quel choix est le moins pire. En effet, même si c’est une fine stratège dans l’art de la guerre, elle déteste se battre, prendre des vies et d’ailleurs elle n’est pas très douée pour ça. Néanmoins, elle ne se voit pas non plus se marier avec quelqu’un parce que la société lui dicte de le faire. En ce qui concerne Arin, l’esclave que Krestel achète, j’avoue que je préfère plutôt garder le mystère sur lui mais c’est un personnage très intéressant, bien développé et auquel on ne peut que s’attacher. Je suis vraiment impatiente de voir l’évolution de ces personnages dans les tomes suivants.
J’ai beaucoup aimé l’univers dans lequel se déroule cette histoire même si tout est loin d’être rose. Nous ne sommes pas dans un monde post-apocalyptique mais celui-ci est quand même régi par des règles très strictes. En effet, les femmes n’ont donc que deux choix: se marier ou s’engager dans l’armée mais les gens de la bonne société n’ont pas le droit de jouer de la musique… Seul les esclaves peuvent le faire. D’ailleurs, on ne peut pas dire qu’ils soient très bien traités mais bon ils auront quand même leur revanche même si le sang va couler à flot dès ce premier tome. Pour ma part, j’avais vraiment l’impression d’être un peu dans un univers antique mais ce n’est que mon impression évidemment.
Si je devais conseiller ce roman, je dirais aux lecteurs qui ont aimé « The Book Of Ivy » de Amy Engel de se jeter dessus car je suis convaincue que vous allez aimer. Pour ma part, j’ai tout simplement adoré cette lecture du début à la fin et je crois qu’on peut même dire que c’est un joli coup de coeur et aujourd’hui je n’ai qu’une envie, celle de découvrir la suite et de retrouver Arin et Krestel qui ne sont pas au bout de leur peine.
Quelques informations sur The Curse:
Edition: Lumen
Prix: 15 euros
Date de sortie: 16 février 2017
Nombre de pages: 464 pages
Tu me donne envie de rencontrer Krestel, Arin et l’univers dans lequel ils existent et pourtant je lis très peu de romans de ce genre, d’ailleurs, je me souviens même plus du dernier ! Te dirais si je craque 😉
D’ailleurs, j’ai The Book Of Ivy de Amy Engel dans ma PAL, certainement sur tes recommandations !
BIB tu dois lire the book of ivy!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!